30 octobre 1974, stade du 20–mai (Tata Raphaël), Kinshasa. Il est 2h45 heures du matin. Braqués sur l’immense ring planté au milieu de l’enceinte, huit puissants projecteurs éclairent l’arène d’une chaude lumière jaune orangé. Déjà la foule, contenue par des dizaines de policiers armés et équipés de casques de protection blancs, se presse à l’entrée principale. Dans la nuit tiède africaine, la fièvre monte. Tout le peuple zaïrois veut assister au combat du siècle. The Rumble in the Jungle ! Un événement planétaire retransmis en direct sur les chaînes TV américaines. D’où l’horaire inhabituel. Ali vs Foreman : l’affiche est historique. Politique même pour le « grand léopard », le président-général Mobutu Sese Soko, père de la nation autoproclamé et grand ordonnateur de ce « super choc » comme le proclame l’annonce officielle du Championnat du Monde des poids lourds.
La petite vedette du Parc de la Révolution
Pendant que le public remplit les gradins, les combattants se préparent. Dans l’un des vestiaires, situé dans l’aile nord du bâtiment circulaire, un jeune boxeur au corps longiligne s’échauffe doucement. Il a 18 ans, le regard espiègle et un sourire d’enfant. Mais ses gestes, assurés et précis, ne trompent pas : le gamin a du talent. Une élégance naturelle qui lui vaut déjà une certaine notoriété dans les rangs amateurs. Originaire de Kisangani, au nord-ouest de Kinshasa, entre le fleuve Congo et la rivière Tsopho, ce gaucher à la frappe sèche collectionne les succès. C’est l’un des meilleurs poids légers du pays, petite vedette du Parc de la Révolution, à Kinsasha, là où il dispute la plupart de ses combats au début des années 70. Il en a déjà une vingtaine à son actif, et presqu’autant de victoires ! Deux défaites seulement (dont l’une contestable) et un match nul ternissent son brillant palmarès.
En lever de rideau d’Ali vs Foreman à Kinshasa !
Cette étoile montante de la boxe zaïroise, c’est Monga Mongelema, de la tribu Mbunza de Bumba établie dans la province de la Mongala (Grand Equateur). Cette nuit, le jeune espoir de la boxe zaïroise se paye le luxe de chauffer la toile bleue du ring sur laquelle Ali dansera tout à l’heure pendant 8 rounds avant d’abattre Foreman d’une droite au menton. Monga, privilège royal, boxe en lever de rideau de l’une des plus célèbres confrontations de l’histoire de la boxe mondiale.
Ce n’est pas un hasard si les organisateurs de la Rumble ont fait appel à lui. C’est l’un des meilleurs amateurs du pays. Formé par le défunt Kilenda Mutombo, réputé être le meilleur entraîneur du Zaïre et son adjoint Adelard Ibula Masengo, ancien entraîneur de l’équipe nationale de boxe. Rapide, précis, élégant, il boxe déjà avec une certaine classe. Et après 5 années de boxe amateur, il comptera à son palmarès plusieurs victoires contre de solides adversaires : Beltshika Mbayo, Nzolameso, Mutombo, Abdhalam, Kaninda, Musasa, Zora… Ce soir, Monga, on le sait, va faire le show. Comme d’habitude, il donnera tout. Sans tricher. Une délicieuse mise en bouche avant le plat de résistance. Et même s’il perdra finalement ce combat aux points, il aura enchanté le public par sa boxe fluide et précise et son cœur de lion.
Débuts pro au Luxembourg
Comme beaucoup de boxeurs africains de sa génération, c’est au Luxembourg que Monga Mongelema entamera sa carrière professionnelle à la toute fin des années 70. Passage obligé, à l’époque, pour la quasi-totalité des boxeurs originaire du continent qui voulaient obtenir une licence pro sans être pour autant obligés de se naturaliser. En 1979, sur les conseils de son père, Mongelema quitte le Zaïre. Après un court séjour à Bruxelles, il se rend au Grand-Duché où il obtiendra le droit de boxer en pro. Il livrera une quinzaine de combats sous licence luxembourgeoise, affrontant déjà de sacrés clients comme le Britannique Tony Sibson (qui deviendra Champion d’Europe des moyens en 1984), le Néerlandais Alex Blanchard (qui raflera la ceinture EBU des poids mi-lourds la même année contre le Français Richard Caramanolis) ou encore l’excellent Croate Marjan Benes, décédé en 2018). On ne peut pas dire que son manager de l’époque ait pris soin de protéger son jeune poulain… D’emblée, Mongelema est jeté sans dans l’arène des grands. Sans ménagement, comme cela a trop souvent été le cas des boxeurs venus d’Afrique.
Vainqueur surprise de Loucif Hamani
Il est d’ailleurs toujours licencié au Luxembourg lorsqu’il croisera la route de l’ex-champion d’Afrique et challenger mondial Loucif Hamani. C’était le 21 janvier 1982 à Paris. Sur le papier, le combat devait être une formalité pour l’Algérien licencié au BC Choisy-le-Roi. Remplaçant au pied levé de l’américain Walker, Monga Mongelema, en sérieux ouvrier du ring était juste censé donner une honorable réplique au virtuose Hamani. Contre toute attente, le gauche de Kinshasa crée une énorme surprise en envoyant au tapis l’Algérien au 4ème round après l’avoir sévèrement touché d’un crochet gauche. Lucky punch. Alors que l’arbitre égrène les secondes, Julien Teissonnières, manager de Loulou, préfère jeter l’éponge pour préserver la santé de son poulain. « Lorsque Loucif Hamani est tombé, je n’en croyais pas mes yeux car le coup que je lui ai porté, un crochet gauche, en reculant en plus, n’était pas particulièrement puissant… Il devait être fragile du menton… Même mon manager, Jean Bretonnel, qui était dans mon coin ce soir-là était étonné. J’ai énormément de respect pour Hamani, c’est un bon boxeur et un grand technicien », me confiait Monga, dans une interview réalisée en 2014.
Stoppé par Angulo et Ferrara
Avec cette victoire, Mongelema entre dans la légende. Il n’est plus seulement un guerrier au cœur de lion. Maintenant, il sait qu’il peut devenir un vrai champion. De France, d’Europe… ? Et plus encore ? Une chose est sûre : avec son sacre parisien, c’est une nouvelle étape s’ouvre dans sa carrière. Premier changement notable : il quitte le Luxembourg et vient s’établir en France au début de l’année 1982. Désormais licencié sous le n° 7045 à la Fédération Française de Boxe, de nouveaux horizons s’ouvrent à lui. Mais les perspectives, en réalité, sont limitées. Barrée de la mention “ETRANGER”, sa carte de boxeur pro lui interdit toute participation aux championnats de France et d’Europe. Piloté par Michel Acariès, il prend vite ses marques et défie successivement deux des plus grands poids moyens français du moment : Rufino Angulo (qui deviendra champion de France des mi-lourds en 1987 face à Caramanolis et challenger européen et mondial de la catégorie) et Stéphane Ferrara (qui décrochera la ceinture tricolore en décembre 1982 face à Jacques Chinon et s’inclinera plus honorablement devant Louis Acariès pour le titre européen 9 mois plus tard).
Pour venger Loucif !
Les anciens se souviennent encore de la violence du combat qui l’opposa à Rufino Angulo le 6 mars 1982 à Coubertin. Une guerre. Après avoir touché plusieurs fois son adversaire (compté trois fois), Mongelema est foudroyé, en contre, par une droite redoutable qui le mettra K.O au 8ème round. Lorsqu’il a appris la mort de Mongelema, Rufino Angulo s’est dit « triste et dévasté pour mon ami, mon frère ». Mêmes paroles, pleine de respect et de compassion chez Stéphane Ferrara, vainqueur aux points de Monga le 7 juin 1982 à Paris. « C’est un grand boxeur qui nous quitte, quelle tristesse… Mes condoléances à ses proches ». Stéphane, ce soir-là, est monté sur le ring avec une détermination sans faille. Il n’avait qu’une seule idée en tête : venger Loucif Hamani, « accidentellement » mis K.O par Mongelema. « Pour moi, qui admirait la boxe d’Hamani, c’était un devoir ! J’étais remonté à bloc, confiant et bien décidé à venger Loucif ! », confie-t-il aujourd’hui à Choisy Boxe.
Dans les yeux d’Annie Girardot
Mais secrètement, il puisait aussi sa force dans le regard d’une femme qui était assise au premier rang. « J’étais fasciné par ses yeux. Elle me regardait avec inquiétude depuis le début du combat. Et moi, pendant la minute de repos, dans mon coin, je n’arrivais pas à me détacher de son regard. Je ne voulais même pas m’asseoir pour bien voir son visage ! On communiquait avec les yeux. Je voulais la rassurer, lui dire que je maîtrisais la situation pour qu’elle ne s’inquiète pas… Et peu à peu, j’ai vu son visage se détendre… », révèle aujourd’hui Stéphane Ferrara. Ce regard providentiel, c’était celui de l’actrice Annie Girardot. Dix années plus tard, alors qu’il tournait un film avec elle à Milan, il lui a avoué à quel point son regard l’avait aidé, ce soir-là, à venir à bout du redoutable Mongelema. Celle qui incarnait la provocante Nadia dans Rocco et ses frères, le chef-d’œuvre de Visconti (1960), était une habituée des belles soirées de boxe parisiennes des années 70 et 80. Tout comme Alain Delon qui incarnait le rôle-titre du film.
De Dunkerque à Antibes
Angulo et Ferrara, deux merveilleux champions qui assombrissent les rêves de grandeur de la fierté de Kisangani. Mais Monga ne renonce pas. Pour commencer, il s’éloigne de Paris. Direction Dunkerque. Chez l’excellent André Vercoutter, où il retrouvera avec plaisir son illustre compatriote le franco-congolais Jo Kimpuani, ex-champion du Congo chez les amateurs, champion de France, d’Afrique et d’Europe des super-légers en pro, deux championnats du monde WBC au compteur ! Le regretté Dan Mputu, autre gloire de la boxe congolaise, était aussi licencié chez Vercoutter entre 1976 et 1982. Puis, à l’initiative de Michel Acariès, c’est au bord de la Méditerranée, à Antibes qu’il ira se fixer au milieu des années 80. Vite adopté par les Antibois, Monga Mongelema enchaîne alors les combats sous la houlette du promoteur Roger Ferrer. Sous le soleil de la douce station balnéaire, entre 1983 et 1985, il battra Jacques Chinon, José Lozano, Andoni Amana, Matteo Slavemini, Gratien Tonna, Brian Andreson… Pour la première fois, à Antibes, Mongelema bénéficie d’un véritable accompagnement à la hauteur de sa valeur : soutien social et administratif (notamment pour les démarches liées à sa naturalisation), logement, conditions d’entraînement… Et grande nouveauté dans sa carrière : il a environ 2 mois pour préparer chacun de ses combats !
Héroïque face à Roldan, Cordoba et Tiozzo
Le 14 juillet 1984, au stade Louis II de Fontvieille (Monaco), il livre un combat héroïque contre le n°2 mondial, le bison argentin Juan Domingo « El Martillo » Roldan (52 victoires, 3 défaites et 2 nuls au moment de ce combat). Quatre mois plus tôt, ce dernier avait disputé un championnat du monde unifié des poids moyens à Las Vegas (WBC, WBA et IBF) contre le légendaire Marvin « Marvelous » Hagler qui régnait en maître sur la catégorie. Au 1er round, Roldan, au bout de quelques secondes, envoie Hagler au tapis sur un crochet gauche (un peu poussé il est vrai…). Compté 8 ! Une énorme surprise. Et jusqu’à la fin (il sera mis K.O au 10ème round), il rendra coup pour coup à l’indestructible chauve de Brockton. C’est face à ce très coriace adversaire que Mongelema tiendra debout pendant 8 rounds, lui donnant même du fil à retordre. Après avoir évité ses attaques pendant les 4 premiers rounds, Monga passe à l’offensive dans la seconde partie du combat, touchant à plusieurs reprises l’Argentin. Même s’il a un peu faibli au dernier round, il aurait mérité un match nul. Il est le seul boxeur français et même européen à avoir défié Roldan la terreur.
De retour à Paris, en 1986, Mongelema, fidèle à lui-même, accepte les combats les plus périlleux. Jamais refuser un adversaire. C’est sa marque de fabrique… Avec Monsieur Jean dans son coin, il repart à la guerre. Et se heurte à nouveau à deux obstacles de taille : le Panaméen Victor Cordoba (en 1985 à Monaco) et le Français Christophe Tiozzo (en 1986 à Paris). Deux futurs champions du monde devant lesquels il s’inclinera aux points et avec les honneurs, non sans avoir envoyé Tiozzo sur les fesses… Et Cordoba mettra K.O Tiozzo au 9ème round à Marseille en 1991 lors de la première défense de son titre de champion du monde WBA des super-moyens. A la presse qui lui demandait son pronostic avant la rencontre (puisqu’il avait affronté les deux boxeurs), Mongelema avait répondu : « Je veux bien admettre que Tiozzo a progressé mais je crois Cordoba plus dangereux. Il pourrait même y avoir une belle surprise à Marseille… ». Prophétique.
Un boxeur surexposé…
A l’inverse de nombreux boxeurs tricolores (qui l’ont d’ailleurs soigneusement évité…), Mongelema n’a jamais suivi de plan de carrière et encore moins de carrière protégée. Ce qui a peut-être été une erreur car Mongelema a cumulé les combats durs sans forcément retirer les fruits de tant de sacrifices. Un classique dans le monde de la boxe à cette époque. Surtout pour les boxeurs venus d’Afrique, trop souvent exploités et rarement considérés à leur juste valeur. Monga Mongelema, qui avait été rebaptisé « André » après sa naturalisation (pour pouvoir disputer les championnats de France et d’Europe), n’était pas dupe et savait parfaitement à quoi s’en tenir. Il acceptait les combats durs pour s’imposer coûte que coûte, démontrer qu’il pouvait boxer n’importe qui. « Mais il ne boxait pas pour gagner à tout prix. Il boxait pour boxer. Parce qu’il aimait vraiment s’entraîner, boxer… Il était passionné par le Noble Art », fait observer l’ancien champion originaire du Cameroun, Hugues Thierry Samo qui l’a bien connu. « Je l’ai connu à Marseille, quand j’étais chez Molina. Il venait parfois mettre les gants chez nous pour se préparer. Il était d’une grande gentillesse et très humble », ajoute l’élégant Samo, vainqueur de l’ex-champion du monde, l’Espagnol Perico Fernandez, en 1984 à Marseille.
Conséquence de cette surexposition : le nombre de défaites inscrites à son palmarès (concédées face à de grands champions de niveau européen ou mondial) trompait parfois ses adversaires. On le croyait naïvement « moyen » alors qu’il était un champion d’exception. Hugues Thierry Samo analyse avec lucidité la situation : « En fait, certains managers et des boxeurs pas très curieux se laissaient parfois avoir par le faux palmarès de Mongelema. Ils ne prenaient pas toujours le temps d’analyser en détail sa carrière et se contentaient de regarder le nombre de victoires et le nombre de défaites. Cela ne veut rien dire ! Ce qui compte en boxe, c’est de savoir qui se trouvait en face sur le ring… ».
Champion de France des poids moyens à 32 ans
Après ses deux défaites face à Cordoba et Tiozzo, Mongelema, inaugure un nouveau cycle dans sa carrière. Devenu Français par naturalisation, il vise désormais le titre national. Entre 1987 et 1989, Monga ne connaîtra pas la défaite. Dix victoires en deux années d’activité. Après avoir battu plusieurs poids moyens de valeur (dont José Rosemain et Klayima Awouitoh), il s’empare de la ceinture tricolore de la catégorie (vacante) le 28 mars 1988 au Cirque d’Hiver (Paris) face au rugueux Jean-Noël Camara, battu par K.O à la cinquième reprise. Une fois de plus. Un sacre pour le jeune boxeur amateur du Parc de la Révolution à Kinsasha. Mais aussi sa première reconnaissance officielle sur la scène pugilistique française sur laquelle il évoluait pourtant depuis dix ans. Quatre victoires plus tard (dont une sur le doué Paul Tchoué), il tente sa chance européenne (le titre est vacant) face au champion d’Italie Francesco Dell’Aquila.
A un cheveu de la ceinture européenne !
Le combat a lieu le 31 mai 1989 à Campione d’Italia (Lombardie). Face à un adversaire dix ans plus jeune que lui, Mongelema déploie sa boxe fluide et intelligente et secoue plusieurs fois son adversaire. Mais c’est visiblement insuffisant pour les juges qui donnent la victoire à l’enfant du pays. Emporter une décision aux points en Italie, tous les boxeurs français le savent bien, n’est pas toujours évident… Ce sera son dernier combat. Après 50 duels professionnels, 32 victoires (dont 14 par K.O), 13 défaites (dont 3 par K.O) et 5 nuls, la fierté de Kisangani fait ses adieux au ring. En 2017, le protégé de Jean Bretonnel déclarera : « J’ai été dix ans boxeur professionnel… J’ai travaillé un peu pour bien assurer ma retraite ! C’est ok maintenant : j’attends tranquillement, comme un papa avec ses enfants, en famille… Je suis très fier d’avoir fait ce parcours et grâce à mon Dieu qui était toujours avec moi pour me protéger des dangers sur les rings de boxe ».
Ironie du sort, moins d’un an après sa défaite contestable en Italie, le 24 janvier 1990, en Sicile, le champion du monde Sumbu « Ali » Kalambay, lui aussi originaire de l’ex-Zaïre (RDC) et ami de jeunesse de Mongelema, reprendra le titre européen à Dell’Aquila par K.O au 9ème round. Hasard des classements de l’European Boxing Union ou Kinshasa karma ? Sûr que Monga, ce jour-là, a esquissé ce même sourire espiègle qui illuminait déjà son visage juvénile lorsqu’il s’échauffait dans les vestiaires du stade du 20-Mai, une nuit d’automne 1974. Monga Bomayé ! Monga Bomayé ! Monga Bomayé !
Nasser Negrouche
QUELQUES REACTIONS…
A l’exception du silence inexplicable de la Fédération Française de Boxe et du mutisme tout aussi mystérieux de la presse sportive institutionnelle, tout le monde de la boxe pleure le décès de Monga Mongelema. Sur les réseaux sociaux, on ne compte plus les réactions de ceux qui l’ont connu, managers, entraîneurs, boxeurs, supporters… Il serait impossible de citer tout le monde ici. En voici quelques unes. Vous pouvez ajouter votre propre réaction en commentant cet article ci-dessous.
Michel Acariès : « La disparition de Mongelema me peine énormément ! C’était un vaillant guerrier, un boxeur qui ne reculait devant personne. Louis et moi sommes attristés et on adresse toutes nos condoléances à sa famille ».
Rufino Angulo : « Je suis triste et dévasté. C’était mon ami, mon frère. Qu’il repose en paix et je pense à sa famille”.
Stéphane Ferrara : « Je suis vraiment touché par son décès. C’est un frère du ring qui s’en va… Un de plus… C’était un bon boxeur et un homme de valeur. Je ne l’oublierai pas et j’adresse tout mon soutien à sa famille ».
Hugues Thierry Samo : “Quelle triste nouvelle ! Je suis peiné… C’était un homme d’une grande gentillesse, il nous manquera. J’adresse mes condoléances à ses proches. Qu’il repose en paix”.
Saïd Skouma : « C’est une bien triste nouvelle… J’ai souvent mis les gants avec lui à l’entraînement et c’était parfois plus dur qu’en combat car il cognait… Il avait un putain de crochet gauche… Paix à son âme et mes condoléances à sa famille ».
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